Le terme “Blockbuster”, signifiant littéralement qui fait exploser le pâté de maisons est une production cinématographique à gros budget destinée à produire des profits record. Treize ans après le premier Avatar, James Cameron relance la machine, c’est l'occasion d'un tour d'horizon de ce genre spectaculaire que vous présente ce petit bol d’air festif !
LE CADEAU DU GEEK
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George Lucas fut le précurseur des effets spéciaux en créant une galaxie entière pour son mythique Star Wars. Une chose est sûre : ils ont largement contribué au succès de la trilogie, pionnière dans le domaine !
Aujourd'hui, les effets spéciaux sont présents dans tous les films, du film fantastique à la comédie romantique. Pourtant, nous l’ignorons la plupart du temps. Comment les fabrique-t-on ? Comment les identifier ? Zoom sur les différentes techniques utilisées pour repousser les limites du possible. En bonus, 10 scènes que vous auriez jurées issues d'effets spéciaux.
Treize ans après la sortie d'Avatar 1 qui fut un événement au box-office et une révolution numérique, James Cameron livre enfin Avatar : la voie de l'eau. Plongée dans ce qui s'annonce comme le grand événement cinéma de cette fin d'année !
Le premier film à marquer symboliquement la transition vers le blockbuster en tant que genre cinématographique est Les Dents de la mer de Steven Spielberg. On vous propose 10 films qui sont devenus des blockbusters… sans le vouloir !
James Cameron ! Vous êtes forcément déjà tombé devant l’un de ses films : Terminator (1 et 2), Aliens (le deuxième de la franchise), True Lies ou le petit film indé Titanic, dont la réussite fut discrète comme vous le savez 😁. Il a aussi scénarisé ou produit d’autres métrages plutôt fameux, révolutionné les procédés techniques au moins une dizaine de fois, mais je vous laisse découvrir le dernier-né.
Avatar, premier du nom, plus gros box-office du cinéma pendant 10 ans, avait déjà marqué les esprits à l’époque pour ses effets spéciaux visionnaires, malgré un scénario cousu de fil blanc. Petite anecdote : le rôle principal fut proposé à Matt Damon, en échange d’un pourcentage sur les recettes du film mais ce dernier refusa, manquant l’occasion de devenir l’acteur le mieux payé pour un film (il aurait pu gagner plus de 600 millions de dollars). Revenons-en à Avatar : la voie de l’eau, qui s’est fait attendre 13 ans. Suite directe du premier, on y retrouve Jack Sully et sa femme Ney’tiri accompagnés maintenant de leurs enfants.
Continuant la guérilla contre les humains, toute la famille est contrainte au départ lorsqu’une ancienne menace refait surface et se réfugie dans une nouvelle région de Pandora. Le scénario est ici mieux travaillé, se permettant de bons retournements de situation et étoffant la mythologie de Pandora. Les thèmes de l’urgence climatique ou de l’héritage sont ici abordés, le tout baignant dans un pessimisme bienvenu, laissant par exemple le manichéisme du premier film au placard. Certains personnages sont très correctement développés, d’autres le sont malheureusement beaucoup moins. On ne peut évidemment pas oublier la technique : quelle claque ! Les environnements, les visages, les animaux, l’eau : le sens du détail est ici poussé à l’extrême. La caméra circule avec fluidité, sachant quand prendre son temps pour apprécier un panorama à couper le souffle. Le film a dix ans d’avance sur l’industrie et ça se sent ! Il faut donc aller le voir en salles et en 3D, si possible et si la qualité de la 3D du cinéma n’est pas mauvaise, le prix devrait tourner autour de 20€. C’est cher, mais l’expérience est unique et fera patienter avant les prochaines suites.
LE CASSE-TÊTE DE JACQUES
Les livres
Il y a plusieurs livres sur une étagère. Si un livre est le cinquième en partant de la gauche et le cinquième en partant de la droite, combien y a t-il de livres sur cette étagère ?
Réponse jeudi prochain !
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