Le jeudi 12 mai à 10h aura lieu votre prochaine parenthèse numereek, un café convivial à suivre en ligne pour discuter d’un sujet du numérique. Au programme jeudi : LES APPLICATIONS DE NETTOYAGE. Sylvain vous explique quelles données conserver, supprimer et comment paramétrer ces petits outils bien pratiques.
Une newsletter sur le caoutchouc ? Mais Monique, quelle drôle d’idée ! Le caoutchouc est récolté sur un arbre en Amazonie appelé l’arbre qui pleure. A l’origine, cette résine était mastiquée par les Mayas. C’était le précurseur du chewing-gum : des Mayas aux GI américains, son histoire est étonnante. Le chewing-gum est une banale friandise mais découvert sur un site archéologique ancien de plus de 5000 ans, il peut tout révéler sur son propriétaire, grâce à l’ADN de sa salive.
En amérindien, « ca-o-tchu » veut dire « l’arbre qui pleure ». Les Mayas l’exploitaient déjà pour imperméabiliser leurs vêtements, leurs chaussures, leurs canoës…. En médecine, ils s’en servaient pour remettre les estomacs d’aplomb et soigner la toux. En bonus, une petite émission sur les traces des dernières grandes plantations d’hévéas du Brésil pour découvrir ces arbres qu’on saigne pour en extraire le latex.
Comment une résine que les Mayas d’Amérique centrale avaient pour coutume de mastiquer lors des cérémonies religieuses est-elle devenue le symbole de la domination culturelle et économique des Etats-Unis ? Nous tentons de répondre à cette question vitale.
Crédit photo : THEIS JENSEN / UNIVERSITY OF COPENHAGEN / AFP
Lorsque vous mâchouillez un chewing-gum, vous y laissez un peu de votre salive. Et c’est aujourd’hui un « chewing-gum » vieux de 5.700 ans que des chercheurs ont analysé. Leurs travaux révèlent non seulement les origines de sa mâchouilleuse, mais aussi la couleur de ses yeux, les germes que sa bouche hébergeait et la composition de ses repas.
Voici le dernier-né du plus voyageur des réalisateurs français, que nous avons déjà présenté dans cette chronique, centré autour des événements du 15 avril 2019, qui aboutirent au spectaculaire incendie de Notre-Dame de Paris.
S’il s’agit bien d’une fiction et non d’un documentaire, Annaud s’emploie ici à montrer une reconstitution millimétrée des faits, grâce aux témoignages des pompiers qui sont intervenus et à leurs conseils pour rendre le tout réaliste, mais aussi en intégrant de nombreuses vidéos faites par des amateurs ou par la préfecture, qui viennent ponctuer le métrage. Ajoutons le formidable travail visuel, réalisé autant sur le choix des cadres, faisant souvent de la cathédrale et du feu les personnages principaux, que sur le choix des trucages, privilégiant prises de vues réelles en studio ou en cathédrale aux désormais traditionnels effets spéciaux. Par sa technique magistrale, saupoudrée d’un mixage son et d’une musique au poil, le métrage nous tient parfaitement en haleine durant deux heures, communiquant pleinement la tension de la situation. Seul bémol néanmoins, et assez étrange : le scénario. La place de la cathédrale et du feu relèguent les personnages (les pompiers donc) au second plan et n’intègrent que peu leurs émotions ou motivations. Ces derniers ressemblent moins à des véritables personnages qu’à des figurants ayant le droit à leur moment de bravoure une fois dans le film. Et pourtant, l’expérience en vaut largement la chandelle, tant ce long-métrage marque, par ses visuels ou les émotions créées (que quelques moments moins subtilement amenés gâchent un peu). A regarder dans les salles obscures, frissons garantis !
En bonus, on vous emmène dans les coulisses pour suivre l’aventure incroyable du film en compagnie du réalisateur du Nom de la rose, des vrais pompiers et de l’acteur Samuel Labarthe.
ÉNIGME DU JOUR
Retour vers le futur
Pourquoi les Pringles (sorte de Chips) ont cette forme si particulière qu’on lui a même donné un nom : la paraboloïde hyperbolique.
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